Le Sermon sur la Montagne s’ouvre sur les Béatitudes et se conclut avec la parabole des deux maisons. Alors que Jésus fait l’éloge d’une forme de vulnérabilité dans les Béatitudes, il nous invite à devenir solides comme le roc à la fin du sermon.
En quoi le paradoxe de cet évangile toujours bousculant peut-il enrichir notre aujourd’hui?