J'ai ton nom gravé sur les paumes de mes mains

La douleur d’un deuil est bien réelle. Pourtant, se souvenir, ce n’est pas vivre dans le passé, mais transformer le lien avec la personne chère décédée. Deux versets du livre d’Ésaïe nous aident à cheminer avec la promesse d’un Dieu qui se souvient.

Pour nous, il s’agit de redéfinir notre identité altérée par un manque. Au fil du processus de deuil, nous allons prendre une nouvelle position dans la vie. Paul nous rappelle que rien ne peut nous séparer de l’amour de Dieu. Rien. Pas même la mort. Pas même le deuil.

Détails

Célébration
Avec la participation de
Anne Howald Balz pour les lectures
Orgue
Sara Gerber
Musique
Johanna Baer à la harpe, Carmelo Catalfamo au chant